Eloquence

Les Maux se soignent par les Mots.

Dimanche 8 août 2010 à 13:00

http://eloquence.cowblog.fr/images/CopiedeGarance.jpg                       C'etait comme si tout se remettait en marche, d'un seul coup sans avoir demander rien à personne. Le retour à la réalité est déstabilisant, pesant, angoissant. Les gens n'ont pas changer. On attend dans l'ombre que quelque chose ce passe & quand ça arrive on ne sait pas y faire. Mon esprit est ailleurs. Je me perds dans les papiers, me confond dans les codes, mon identité n'est plus qu'un numéro se terminant par 08. J'angoisse. L'avenir me fait peur, je l'attend depuis tellement longtemps ce nouveau départ qu'il m'effraie à présent. 

                       Je suis seule assise, à coté d'inconnus qui me dévisagent. J'aimerais penser à autre chose. La musique tape dans ma tête je ne sais plus laquelle c'est, ni ou j'en suis. Une mains se pose sur mon épaule, un regard anxieux, une parole rassurante. Je reste seule. Ses grands yeux bleux se plongent dans les miens. " Maman pourquoi elle pleure la dame?" un sourire gené, mou timide & gentillement elle la pousse vers l'extrieure, j'esquisse un sourire un peu forcé. Nos regards se croisent. Julia. Elle me rapelle ceux que je viens de quitter. C* et ses petites méches blondes, E* qui voulait dormir tout seul comme un grand dans sa tente. A* cette boule de nerfs, A* la futur chanteuse, P* qui après avoir pleuré tout le temps m'as glissé à l'oreille qu'il ne voulait plus partir. Tout ces mots d'enfants qui nous marquent. Le train s'arréte.  Je descend les bras chaleureux et protecteur d'un frère vienne s'enrouler autour de moi. Je sais que je peux m'y echapper. Ma valise ce pose enfin dans un endroit connue, après avoir passé deux jours à courir dans tout les sens, je ne sais plus trop où donnée de la tête. Je me pose m'allonge léve les yeux l'impression que rien à changer et pourtant. Les souvenirs se bousculent dans ma tête. Le temps de me concentrer et je sens l'odeur de là bas, les cris, les chants de chacun. L'atmosphére m'englobe j'aimerais y retourner.

Dimanche 20 juin 2010 à 11:46

Être aimer de façon distraite, être frôler par celui qui croit vivre Avec nous alors qu'il ne vit que Près de nous. Arreter de regretter, prendre les bons choix, partir, prendre du recul. Je sais ce que je fais de mon corps. Je m'arreterais quand je le jugerais bon. Je ne suis plus une gamine.

Jeudi 27 mai 2010 à 19:10

                      Je ne peux me résigner à aimer sans charger ce verbe d’une folle ambition. Si mon amour ne te rend pas joyeuse d’être toi, alors je n’en suis pas digne. Si mon amour te fait douter de ta valeur et de ton éclat, alors j’ai honte d’être ton amant. Si mon amour te donne le sentiment d’être plus seule avec moi que sans moi, alors respirer n’a plus de sens. Alexandre.J  Ce soir j'en ai envie, du moins je pense, mais j'en ai surement besoin. J'aimerais taire ces maux. J'aimerais refaire mes mots. Comme une cassette que l'on rembobine, revenir en arrière. Mais je crois que je ne changerais rien. Je suis capricieuse et indécise. Derrière mon ordinateur je lis des articles de gens absents, qui étales leurs bonheur et leur amour comme on étalerait de la confiture. Des perles humides filent sur mes joues. Si j'en suis venue ici c'est de ma faute & je suis la seule à blâmer. Tout en attrapant la boite blanche et bleu, chère au yeux de mon médecin, une chanson tourne en boucle. Du piano, ça apaise. Je me lève et cours au bout de ma chambre, essaye vainement de reproduire le son. Puis laissant me doigts filer au sons des derniers morceaux appris j'ai l'impression de m'évader. Enfin.

Samedi 15 mai 2010 à 15:48

J'en parle, j'en parle. Maintenant je partage.

- On ne rencontre les attentes d'une femmes que pour trouver le vivant de la vie, en essayant d'y répondre.

- L'amour physique, bâclé, pratiqué avec mépris était la dernière morsure qu'elle pouvait lui infliger. Sa façon à elle de lui repprocher de n'être pas plus qu'un homme.

- Sur le marché des sentiments il ne croyait plus guerre à la valeur des siens.

- Tout ça le conduisait vers cette légèreté dangereuse où l'on cède à l'amour dès lors qu'il nous choisit.

- Cette femme qui le disposerait à devenir, plutôt qu'à se perpétuer.


- Toutes ces vérités qu'on ne murmure qu'en asséchant des stylos.

- Elle découvrait ici la peur qui gâte les plus beaux abandons.



Samedi 15 mai 2010 à 15:40

http://eloquence.cowblog.fr/images/CopSteives.jpg          Certaines choses ne s'expliquent pas. On éprouve juste le besoin de le faire. Je me suis endormie en regardant le soleil se lever. J'aurais aimé que tout comme cette montre le temps s'arrête, un peu avant 5h.  J'ai finit ma nuit avec Alexandre. [ C'est un auteur merveilleux.] Il y décline la folie des femmes, leurs façon à elle de se dénigrer, se faire du mal. De rendre les choses  difficile. Il a se doigter qui vous transporte ailleurs tout en restant dans le monde réel.  Il écrit simplement et merveilleusement bien. Maman m'as offert le livre, avec ces mots " Grâce à ce livre tu t'épanouie, on le sent quand tu en parles." Autobiographie d'un Amour. Cela me donne envie d'ecrire.

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