Eloquence

Les Maux se soignent par les Mots.

Vendredi 7 mai 2010 à 21:46

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Tu connais ces fautes qui blessent une femme dans la région du cœur,
où s'inscrivent souvent les amertumes ineffaçables. 
 
On commence à ne plus croire en rien. On est prêt à tout donner, à sauter le pas. On s'invente une nouvelle vie, on fait de la place dans l'ancienne. On raye dans le carnet d'adresses pour mettre des inconnus. Il s'intéresse on essaye de prendre gout. On s'amuse, on se déçoit, on ment, on rit. Et finalement on se rend compte on regarde autour de nous, on prend des leçons, on prend des claques. Et un beau jour on tombe nez à nez avec la réalité. Pimpante et rayonnante. Les yeux s'embuent, on ne comprend plus, on ne veut pas. Assise recroquevillée, pour seul soutient une chanson qui passe en boucle. Les joues humides, le regard des gens, la tête baissée. On a plus envie de se battre. Plus envie de rien. Ces petits bras, son épaule trempé, un soulagement. Et puis il faut relever la tête, les conseils ne sont pas tous bon à prendre, les choses dites pas toutes bonnes à entendre. Dans ces cas là on peut croire que plus rien ne nous touche. C'est faux. Les mots dits, et sans doute les non dits, sont bien plus déstabilisants dans ces moments là. Les regards malveillant ou les paroles destiné à vous faire esquisser un sourire. Prôner la personne et certainement pas non plus la chose à faire. Necessairement, tout cela fini par une bonne dose de mépris, de culpabilité aussi, surement. Désormais livré à la peur qui gate les plus beaux abandons.

Vendredi 7 mai 2010 à 21:15

                                                      Lorsque l'on a réussit une chose que l'on croyait impossible, lorsqu'on pense avoir trouvé la personne qui comblera le vide, lors d'un évènement particulier; on touche au bonheur et l'on se dit heureux. Mais on se rend compte que le projet entrepris ou réussi n'a pas de sens, que l'être aimé est le fruit de notre imagination, que le bonheur est éphémère. Et on fait l'erreur de le penser, car le bonheur ne se finit pas. Il se rectifie.

Mercredi 5 mai 2010 à 21:35

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Une virée en ville. Des yeux qui se tournent., un sourire et plus rien. Une nouvelle vie, un nouveau moi, un nouveau chien, nouvel appart', nouveau copain, nouveaux amis [absolument pas], nouveau téléphone, nouveau numéro, nouveau tout. Pour moi ici maintenant nouveau rien. J'aimerais bien claquer des doigts et faire tout ça. Mais repose les pieds sur terre. Pour l'instant rien ne va plus. Le jeu ne sont pas encore fait, mais j'ai déjà l'impression d'avoir tout perdu. Tout le monde s'agite en ce moment, les gens tournent, changent. On en a peut être besoin au fond de Ce changement. J'en ai sans doute besoin. Vous en avez peut etre besoin. C'est la fin de quelque chose mais le début d'une autre histoire. Le début d'un chemin qui nous mènera je ne sais où. J'en ai marre parce que j'aimerais que ça soit facile. J'aimerais le comprendre. Savoir ce qu'il veut une bonne fois pour toute.

...Je continuerais. Quand l'envie me reprendra.

Lundi 3 mai 2010 à 11:04

Tes yeux ont le mal d'horizon. Fou qui trouve assez bleu l'azur.
A qui le ciel n'est pas prison.
Il faut aimer a Demesure. Ce n'est pas assez que raison.
Louis Aragon

Dimanche 2 mai 2010 à 21:58

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Je serais incapable de te dire si c'est de la déception ou autre chose. Je suis incapable de te dire ce que je ressent. Je ne sais pas du tout te dire ce dont j'ai envie.  Cette routine m'enferme. J'aimerais changer de monde. M'envoler, m'évader. Les sourires passent, les visages se décontractent, les choses ne durent qu'un temps. Alors on essaye de faire tout en vitesse, on se dépêche on ne prend pas le temps de peur justement qu'il nous rattrape. Dans les rues les gens cours s'affolent, Ils n'attendent rien mais cours après tout. Assied toi à une terrasse. Regarde ce qu'il ce passe tout autour de toi. Ils ne prennent pas le temps de vivre, tout est minuter, timer, chrono en mains. On joue sa vie.
Picture.


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