Rendez Vous à Montok
Eloquence
Les Maux se soignent par les Mots.
Samedi 30 octobre 2010 à 0:22
J'écoute la pluie tomber mon vélux entre ouvert. L'air est frais, j'ai froid. Même de l'interieur. J'arrive pas à retrouver cette stabilité qui faisait de moi quelqu'un de forte. Leurs questions me dérangent. J'arrive pas à y repondre, pas parce que j'en ai pas envie. Plutot parce que je n'ai pas les mots pour dire ce qui est. Aujourd'hui je descend lentement vers la plage, je remonte mon col. Je me retourne, cette digue, cette plage, cette mer. Je me suis mise à courir comme une folle dans tout les sens, sans savoir ou j'allais. Bien que la musique ai etait au maximum je n'entendais que mon coeur battre lorsque je me suis arrete. En m'engouffrant dans ma voiture, je tremblée, j'ai eteinds mon I.Pod pour pousser encore plus fort la musique de ma voiture. Maman à laissé trainer un Cd de Aaron. J'ai éclaté en sanglot. Je n'etais pas triste, je crois que pour une fois je laissais tomber cette facade qui m'accompagne nuits & jours. Je les ai apercu au bout de la rue. Me suis vite faufiler derriére, ai enfoncer ma téte dans mon echarpe et la capuche. Verifier mon rimmel, et remis cette parade, cette facade. Mais en partant je savais que essayer n'etait pas la meilleures solutions. Elle, elle a raison il faut que j'affronte, je dois me battre. Je me dégourdis le coeur. En rentrant, je me suis enfermé dans ma salle d'eau, me suis déshabillée et me suis laissée aller sous l'eau chaude, peut etre même trop. Il existe un moment dans l'ecriture qui oublie la page blanche et efface les ratures, un état second. Voila le miens. Ici je me sens bien, ici je me vide. Je sais que la critique sera là, mais encore une fois trop lache je sais qu'ici je n'aurais pas à l'affronter.
Samedi 11 septembre 2010 à 19:52
Toutes les bonnes choses ont une fin. Je me demande toujours si celle la en étais une. Je me lance j'en ai besoin. J'étais pressée et maintenant je ne sais plus comment ne pas rester seule. La solitude me côtoie beaucoup en ce moment. Il faut dire que je suis un assez bon public. Tout ça fait peur, j’ai l’impression d’être sur une pente glissante. J’aimerais qu’on me tende la main. Alors il y a la folie des premiers instants. Mais très vite les passions s'essoufflent, les promesses s'envolent. Et on a beau faire les cents pas, rien y changera. Je suis arrivée ici pleine d’espoir, d’idées, de concepts déjà tout fais parce que pour moi ça ne pouvait que se passer comme ça. Je me suis trompée. Je commence à réaliser. J’ai mal au fond, je ne veux pas qu’on le voit je serre les dents et sors mon plus beau sourire. Du moins j’essaye. Et pourtant on ne voit que du feu. J’ai envie de crier de pleurer de taper dans tout, mais ma coloc’ est là pour me remettre dans le droit chemin. Et alors même dans la solitude j’échoue. En conclusion je ne suis pas heureuse il faut que je me l'avoue mais je sais que dans peut etre 1heure en enfilant ma veste pour sortir, j'y ajouterais ce sourire et je ferais comme si tout allais bien.
Samedi 21 août 2010 à 22:53
Je suis ici tout en pensant à ailleurs. Allongée je regarde le ciel et les avions défilé. Londres, Québec, New York, Los Angeles... Va savoir ou ils vont. Et pendant deux minutes tu te prends au jeu de t'imaginer ou, pourquoi, comment. Et si... et si j'étais des ces avions, et si je partais loin de tout ça. Une destination. Serais-je assez folle pour tenter d'entreprendre ce voyage seule? Tant de choses me poussent à le faire. & tant de choses me retiennent ici. J'ai envie de Soleil, de plages à perte de vue, j'ai envie d'un ailleurs. Je crois que c'est surtout ça.Mardi 10 août 2010 à 20:51
Deux mots en gras pour cloturer une conversation riche en émotions. Il faut franchir le pas. Il faut tourner la page. Au Revoir. Il fallait le faire.
<< Présent.